Quand la sagesse millénaire
rencontre le jeu moderne...
J'ai été un juif de Kippour jusqu'à mes 54 ans. Longtemps attaché aux traditions sans en saisir le sens, il m'a fallu un choc de la vie pour retrouver le chemin de D.ieu. Peu à peu, la prière, l'étude, puis la techouva — ce retour aux sources — se sont imposés comme une évidence.
J'ai alors voulu transmettre cette lumière à mes enfants autrement : non par la contrainte, mais par la joie. C'est ainsi qu'est née Ora Shel Torah, une collection de jeux de société pensés pour apprendre et s'émerveiller en famille.
Et puis, plus tard, un signe m'a frappé : le numéro d'enregistrement de ma société portait le chiffre 770 — l'adresse du Rabbi de Loubavitch. Un clin d'œil céleste, comme une confirmation discrète que j'étais sur la bonne voie.
💫 Si j'ai un message à laisser : n'attendez pas d'avoir 54 ans pour commencer le voyage.
Pas besoin d'être rabbin pour transmettre. Nos jeux permettent d'apprendre ensemble, parents et enfants.
Le jeu crée des moments de partage et transforme l'étude en plaisir familial.
Plusieurs générations autour de la table, de 7 à 77 ans.
Contenu halakhique vérifié, respectueux de la tradition.
"Ce n'est pas à toi d'achever l'œuvre,
mais tu n'es pas libre de t'en désintéresser." — Pirké Avot 2:16
Chaque jeu est une porte. Quelle histoire voulez-vous écrire ?
Un voyage à travers 3000 ans d'histoire juive
Jérusalem du Ciel est un jeu d'exploration historique qui vous fait traverser 3000 ans d'histoire juive, de la Création à nos jours.
À travers 6 périodes historiques, découvrez les événements clés, les personnages marquants et les enseignements de la Torah. Chaque période révèle des mystères, des défis et des opportunités d'apprentissage.
Un voyage initiatique au cœur de notre héritage, conçu pour toute la famille.
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Objectif : Construire ensemble le Temple de Jérusalem en accumulant 36 gemmes de spiritualité à travers 6 périodes historiques. Chaque épreuve rapporte 1 à 3 points selon votre implication. Quand le Temple est achevé (36 gemmes), le champion de l'équipe désignée tente l'ultime épreuve de Révélation.
Déroulement :
Durée : 60 à 90 minutes • Joueurs : 2 à 6 • Âge : 10 ans et plus
2 à 6
60-90 min
10 ans +
Loi ou coutume ? Découvrez la différence
Minhag ou Halakha est un jeu éducatif qui vous permet de découvrir et de comprendre la différence fondamentale entre une loi halakhique (obligatoire) et une simple coutume (minhag).
À travers des questions pratiques et des débats passionnants, apprenez à distinguer ce qui relève de la loi juive stricte de ce qui est une tradition particulière.
Un jeu de débat et de réflexion pour toute la famille, qui stimule l'esprit critique et la connaissance des sources.
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Objectif : Être le premier à distinguer correctement les halakhot (lois) des minhagim (coutumes).
Déroulement :
Durée : 20 à 40 minutes • Joueurs : 2 à 8 • Âge : 12 ans et plus
2 à 8
20-40 min
12 ans +
Reconnaissez les mitsvot dans chaque instant de votre vie
🎬 La vidéo de présentation de Poztamitsvah sera disponible très prochainement.
En attendant, essayez la démo interactive !
Poztamitsvah est un jeu pédagogique qui met en lumière 140 mitzvot (commandements) essentiels de la vie juive quotidienne.
Apprenez et mémorisez ces pratiques fondamentales tout en vous amusant en famille. Chaque carte présente une mitzva avec son contexte, son origine et son application pratique.
Un outil ludique et éducatif pour transmettre les valeurs et les pratiques du judaïsme aux jeunes générations.
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Objectif : Découvrir et mémoriser 140 mitzvot essentielles de la vie juive quotidienne.
Déroulement :
Durée : 20 à 30 minutes • Joueurs : 2 à 6 • Âge : 8 ans et plus
2 à 6
15-20 min
11 ans+
"Enfin un jeu qui permet d'apprendre et de rire ensemble ! Mes enfants réclament une partie tous les Chabbat."
"Je ne connaissais rien au judaïsme. Avec Jérusalem du Ciel, j'ai découvert mon héritage."
"Un outil pédagogique exceptionnel pour nos cours de Talmud Torah. Les enfants adorent !"
🏆 Nominé au Prix d'Innovation Éducative NOÉ 2025
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Traversez 3000 ans d'histoire
Loi ou coutume ?
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Reconnaissez les mitsvot partout
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Inclus dans le pack:
Un voyage familial à travers 3000 ans d'histoire juive
Imaginez traverser six grandes périodes de l'histoire juive - des Patriarches à la Diaspora - tout en construisant ensemble le Temple de Jérusalem. Ce n'est pas qu'un jeu : c'est une expérience de transmission multigénérationnelle.
Les 850 fiches sont réparties en plusieurs catégories : histoire juive, fêtes, halakha, guemara, questions sur Shabbat. Chaque case du plateau circulaire propose une épreuve différente : questions sur les fêtes et la halakha, dilemmes moraux, mimes, énigmes inspirées du midrash. Les joueurs ne s'affrontent pas, ils s'entraident grâce aux cartes "Hessed" qui valorisent la bienveillance et le partage de connaissances.
Jérusalem du Ciel est fait pour vous si :
Chaque vendredi soir après le dîner de Shabbat, la famille Cohen sort Jérusalem du Ciel. Léa (12 ans) adore incarner les reines de la période du Premier Temple, pendant que son frère Yaakov (9 ans) pose des questions sur les prophètes. Leurs parents David et Sarah, juifs laïques en questionnement, découvrent avec émerveillement des aspects méconnus de leur propre héritage. "On apprend autant qu'eux", confie Sarah. Trois générations autour d'un même plateau, chacun apportant ses connaissances et sa curiosité.
📜 Période 1 - Les Patriarches (vers -2000 à -1300)
⛰️ Période 2 - L'Exode et le Désert (-1300 à -1000)
👑 Période 3 - Premier Temple (-1000 à -586)
🏺 Période 4 - Exil babylonien (-586 à -516)
🕍 Période 5 - Second Temple (-516 à 70)
🌍 Période 6 - Diaspora (70 à aujourd'hui)
Avec 850 fiches couvrant histoire, fêtes, halakha, guemara et Shabbat, chaque partie révèle de nouvelles facettes de notre héritage millénaire.
Non, absolument pas. Tous les textes et questions sont en français. Un glossaire hébreu-français est fourni pour les termes techniques (brit mila, guemara, etc.), mais ce n'est pas un prérequis. Le jeu est conçu pour que même quelqu'un qui n'a jamais étudié puisse apprendre en jouant.
Absolument ! Michael Lumbroso, le créateur, a lui-même vécu 54 ans en "juif de Kippour" avant de découvrir la profondeur du judaïsme. Le jeu ne juge jamais et ne présuppose aucune connaissance. Il présente les faits historiques et les sources pour que chacun construise sa propre compréhension. De nombreuses familles laïques témoignent que c'est devenu leur rituel du vendredi soir.
Oui ! Les 850 fiches sont réparties sur plusieurs niveaux de difficulté. Un enfant de 10 ans peut jouer avec des adolescents et des adultes grâce au système de cartes "Hessed" (bienveillance) qui permet aux joueurs de s'entraider. L'esprit du jeu n'est pas la compétition mais la transmission collective.
60 à 90 minutes pour traverser les 6 périodes historiques. Mais vous pouvez aussi jouer en mode "période unique" (20-30 minutes) pour des parties plus courtes. Parfait pour un vendredi soir où le temps est compté !
Le contenu halakhique et historique a été vérifié par une IA spécialisée et systématiquement croisé avec des sources rabbiniques fiables (Talmud, Mishna, Shoulhan Aroukh, commentateurs classiques). Chaque affirmation halakhique est sourcée. Le jeu ne prétend pas remplacer un enseignement rabbinique mais offre une base solide et fidèle aux sources.
Oui, Jérusalem du Ciel est entièrement compatible Shabbat : pas d'écriture requise, pas de manipulation d'électronique, pas de muktzé. Vous pouvez installer le jeu avant Shabbat et jouer en toute sérénité. C'est d'ailleurs l'usage le plus fréquent de nos utilisateurs !
Sarah L., Lyon — Famille laïque
"Avant Jérusalem du Ciel, mes enfants (9 et 12 ans) associaient le judaïsme à 'des trucs de vieux qui durent trop longtemps'. Depuis 6 mois, ils réclament une partie tous les vendredis soir. Ma fille a même demandé à visiter Israël après avoir 'voyagé' dans les 6 périodes. Pour nous qui n'avons jamais été pratiquants, c'est un pont incroyable vers notre héritage."
Contexte : Pas de bar/bat mitzvah prévu, simple découverte culturelle • Fréquence : 1x/semaine depuis 6 mois
Rav Yossef Cohen, Marseille — Enseignant Talmud Torah
"J'utilise Jérusalem du Ciel dans mes cours d'histoire juive depuis un an. Les enfants retiennent 10 fois mieux en jouant qu'en écoutant un cours magistral. Et surtout, ils DEMANDENT à approfondir ! J'ai même des parents qui me remercient parce que leurs enfants leur racontent ce qu'ils ont appris. C'est un outil pédagogique exceptionnel."
Utilisé avec : 25 élèves, 10-13 ans • Établissement : Ozar Hatorah Marseille
David M., Paris — En chemin de techouva
"Comme le créateur du jeu, j'ai découvert le judaïsme sur le tard (à 42 ans). Jérusalem du Ciel m'a permis de rattraper des décennies d'inculture en quelques mois de parties avec mes enfants. On apprend ensemble, sans qu'ils se sentent 'en retard'. C'est exactement ce dont les baalei techouva ont besoin : transmettre ce qu'on découvre soi-même."
Profil : Baal techouva, père de 3 enfants • Usage : 2-3x/mois depuis 1 an
Apprenez à distinguer les lois des coutumes... et à en comprendre les sources
Savez-vous faire la différence entre une obligation halakhique, une coutume communautaire et une simple superstition ? Ce jeu de réflexion et de débat vous invite à explorer 330 pratiques juives à travers 330 fiches détaillées. Chaque carte présente une pratique à classer : Halakha (obligation religieuse), Minhag (coutume), ou Autre (usage sans base halakhique). Les joueurs discutent, argumentent, puis découvrent la réponse avec des explications pédagogiques détaillées et des sources rabbiniques précises.
Minhag ou Halakha est fait pour vous si :
Dimanche après-midi, la famille Levy joue à Minhag ou Halakha. La carte du jour : "Porter une kippa en permanence pour un homme". Débat immédiat ! Le grand-père (ashkénaze pratiquant) est catégorique : "C'est une halakha !" Le père (séfarade traditionnel) hésite : "Je crois que c'est plutôt un minhag..." La fille de 13 ans, en pleine préparation de bat mitzvah, consulte le verso de la carte et lit la réponse : "Minhag ! Le Talmud mentionne la couverture de tête comme middat hassidout (mesure de piété), pas comme obligation. Certaines autorités considèrent qu'elle est obligatoire lors de la prière, mais le port permanent reste une coutume." Discussion animée : "Mais alors, pourquoi tout le monde le fait ?" Les 330 fiches offrent 330 occasions de débattre, questionner, et approfondir ensemble.
Parmi les 330 fiches du jeu, voici quelques exemples qui surprennent souvent les joueurs :
🕯️ Allumer les bougies de Shabbat 18 minutes avant le coucher du soleil
MINHAG L'allumage avant le coucher du soleil est une halakha, mais le délai précis de 18 minutes est une coutume pieuse. Certaines communautés allument 20, 30 ou 40 minutes avant. Source : Michna Beroura 261:23
🥛 Attendre entre viande et lait
LES DEUX La séparation est une halakha fondamentale basée sur "tu ne cuiras pas le chevreau dans le lait de sa mère". Mais la durée exacte (6h, 3h, 1h) est un minhag variant selon les communautés. Source : Yoré Déa 89:1, Rama
🧢 Porter une kippa en permanence
MINHAG Le Talmud mentionne la couverture de tête comme middat hassidout (mesure de piété), non comme obligation. Le port permanent est une coutume qui s'est renforcée au fil des siècles. Source : Shoulhan Aroukh Orah Haïm 2:6
🍷 Boire 4 coupes de vin à Pessah
HALAKHA Obligation rabbinique instituée par les Sages pour symboliser la liberté. Chaque coupe correspond à une expression de délivrance dans la Torah. Source : Mishna Pessahim 10:1
🎺 Sonner 100 coups de shofar à Rosh Hashana
LES DEUX La Torah ordonne de sonner le shofar (halakha), mais le nombre de 100 sonneries est un minhag ashkénaze. Les séfarades sonnent 101 coups. Source : Rosh Hashana 16a, Shoulhan Aroukh 590
💍 Casser un verre sous la houppa
MINHAG Cette pratique symbolise la destruction du Temple et tempère la joie du mariage. Elle n'est pas mentionnée dans le Talmud mais est devenue universelle. Source : Coutume mentionnée dès le Maharil (14e siècle)
📖 Lire la Meguilat Esther à Pourim
HALAKHA Obligation rabbinique établie par Esther et Mordekhaï eux-mêmes, puis ratifiée par les Sages. Source : Meguilah 2a, Esther 9:27
🔯 Porter un tallit gadol à la prière
HALAKHA La Torah ordonne de porter un vêtement à 4 coins avec des tsitsit. Le tallit de prière répond à cette obligation. Source : Nombres 15:38-39, Shoulhan Aroukh Orah Haïm 8
🕎 Allumer 8 bougies à Hanoucca
HALAKHA Obligation rabbinique commémorant le miracle de l'huile. Le nombre de bougies et la progression sont fixés par la halakha. Source : Shabbat 21b, Shoulhan Aroukh Orah Haïm 671
🙏 Dire "Amen" après une bénédiction
HALAKHA Répondre Amen est une obligation talmudique qui associe l'auditeur à la bénédiction prononcée. Source : Berakhot 53b, Shoulhan Aroukh Orah Haïm 124
Et 320 autres pratiques à explorer ! Chaque carte offre non seulement la réponse mais aussi les sources talmudiques et rabbiniques, les nuances selon les communautés, et des pistes de réflexion pour approfondir.
Oui, systématiquement ! Chaque réponse indique la source talmudique ou du Shoulhan Aroukh. Par exemple : "Michna Beroura 261:23" ou "Yoré Déa 89:1". C'est justement ce qui fait la valeur pédagogique du jeu : vous ne devez pas "croire" la réponse, vous pouvez la vérifier vous-même. Plusieurs enseignants utilisent le jeu comme point de départ pour des recherches plus approfondies avec leurs élèves.
Les deux ! C'est toute la beauté du jeu. Les débutants découvrent des pratiques qu'ils ne connaissent pas, tandis que ceux qui ont déjà des bases sont souvent surpris d'apprendre qu'une pratique qu'ils croyaient obligatoire est en fait une coutume (ou l'inverse). Le jeu fonctionne sur le principe du débat : même sans connaissances, vous pouvez argumenter selon votre intuition, puis découvrir la réponse sourcée.
Au contraire ! De nombreuses familles témoignent que le jeu a apaisé des tensions. Quand on découvre que la coutume de la belle-mère ashkénaze et celle de la belle-fille séfarade sont TOUTES DEUX légitimes (simplement des minhagim différents), cela crée de la compréhension. Le jeu enseigne qu'il n'y a pas toujours "une seule bonne façon" de faire, et que la diversité des pratiques fait la richesse du judaïsme.
20 à 40 minutes selon le nombre de cartes jouées. Vous pouvez faire des parties courtes (10 cartes = 15 minutes) pour un vendredi soir, ou des parties longues (30 cartes = 45 minutes) pour un dimanche après-midi. Certaines familles font même du "marathon débat" avec toutes les 330 cartes sur plusieurs semaines !
Oui ! Le livret propose plusieurs variantes :
• Mode duel : 2 joueurs s'affrontent carte par carte
• Mode équipes : idéal pour grandes tablées (jusqu'à 8 joueurs)
• Mode havruta : étude à deux sans compétition, juste pour apprendre
• Mode éducatif : l'enseignant anime avec la classe
Chaque famille adapte selon son style !
Oui, entièrement. Pas d'écriture requise, pas d'électronique, pas de muktzé. Le comptage de points peut se faire oralement ou avec des jetons préparés avant Shabbat. Beaucoup de familles en font leur activité du Shabbat après-midi : débattre de halakha autour d'un jeu est parfaitement dans l'esprit du jour saint !
Rachel & Yossef K., Strasbourg — Couple mixte (ashkénaze/séfarade)
"Mariés depuis 5 ans, on se disputait régulièrement sur 'la bonne façon de faire'. Moi (ashkénaze) : 'Il FAUT attendre 6 heures entre viande et lait !' Lui (séfarade) : 'Mais non, on peut manger du fromage après !' Avec Minhag ou Halakha, on a découvert que les DEUX pratiques sont légitimes, juste des coutumes communautaires différentes. Ça a transformé nos débats : maintenant on cherche à comprendre d'où vient chaque pratique plutôt que de s'affronter. Le jeu a sauvé nos Shabbat familiaux !"
Profil : Couple de pratiques différentes • Fréquence : 2-3x/mois depuis 8 mois
Morée Rivka L., Jérusalem — Enseignante collège religieux
"J'enseigne la halakha à des filles de 12-14 ans. Minhag ou Halakha est devenu mon outil principal. Au lieu de cours magistraux où je parle et elles écoutent (ou pas !), je tire une carte et on débat. Elles ADORENT argumenter, chercher les sources, découvrir les nuances. Une élève m'a dit : 'Madame, avant je trouvais la halakha rigide et ennuyeuse. Maintenant je comprends que c'est vivant, avec plein d'opinions différentes !' Les 330 fiches me donnent du contenu pour toute l'année scolaire."
Utilisé avec : 22 élèves, 12-14 ans • Établissement : Collège Bné Akiva Jérusalem
Benjamin T., Lyon — Adulte en techouva
"J'ai découvert le judaïsme à 35 ans. Le problème ? Personne ne m'avait expliqué la différence entre ce qui est obligatoire et ce qui est coutume. Je croyais que TOUT était pareil niveau importance. Résultat : je culpabilisais pour des choses qui n'étaient que des minhagim ! Avec ce jeu, en 3 mois de parties hebdomadaires, j'ai développé un regard critique. Je sais maintenant ce qui est négociable et ce qui ne l'est pas. Ça m'a libéré d'un poids énorme et ça m'a permis de construire MA pratique de façon éclairée, pas aveugle."
Profil : Baal techouva, célibataire • Usage : 1x/semaine en havrouta depuis 3 mois
Reconnaître les mitsvot dans chaque instant de votre vie quotidienne
Conçu spécialement pour accompagner les jeunes vers leur majorité religieuse, ce jeu transforme la découverte des mitzvot en aventure ludique et familiale. Avec 185 cartes mitsvot/minhagim/averot et 35 situations de vie quotidienne, Poztamitsvah vous entraîne à reconnaître instantanément quelle mitsva ou mida (qualité morale) s'applique à chaque moment et chaque lieu de votre journée. L'objectif ? Développer des réflexes qui font de vous une meilleure personne et un juif plus appliqué, naturellement.
Le principe ? Un lieu est annoncé (table de Shabbat, synagogue, rue, maison...), et chaque joueur doit rapidement identifier dans sa main les mitsvot qui s'y appliquent. "Table de Shabbat !" → Je pose ma carte "Allumer les bougies" et "Havdala" ! Après quelques secondes, on change de lieu. C'est un jeu de rapidité ET de connaissance : il faut non seulement connaître les mitsvot, mais savoir où elles s'appliquent dans la vie quotidienne. Mais pas d'inquiétude : comme pour tous nos jeux, Poztamitsvah peut aussi se jouer en mode découverte libre, sans chrono ni compétition, juste pour apprendre en famille.
Poztamitsvah est fait pour vous si :
Nathan, 12 ans, prépare son bar mitzvah dans 6 mois. Chaque mercredi soir, il joue à Poztamitsvah avec son père David et sa sœur Léa (9 ans). Chacun a 7 cartes mitsvot en main. Le père annonce : "Premier lieu : LA TABLE DE SHABBAT !" Nathan se dépêche de regarder ses cartes — il en a deux qui correspondent : "Allumer les bougies" et "Kiddoush" ! Il les pose rapidement. Léa pose "Havdala" et "Motsi". Le père compte : "5... 4... 3... 2... 1... STOP ! Deuxième lieu : LA RUE !" Cette fois Nathan pose "Tsedaka" (donner aux pauvres) et "Ne pas médire". Le jeu continue ainsi pendant 15-20 minutes, changeant de lieux (synagogue, chambre, cuisine, marché...). À la fin, on compte les points, mais l'essentiel n'est pas là : Nathan a compris que les mitzvot ne sont pas des concepts abstraits, elles habitent chaque espace de notre vie quotidienne. Et David, baal techouva qui découvre le judaïsme en même temps que son fils, a appris autant que lui ! Alternative : Certains soirs, la famille joue en mode "découverte calme" : on étale toutes les 185 cartes sur la table, on choisit un lieu, et on cherche ensemble tranquillement toutes les mitzvot qui s'appliquent. Pas de chrono, pas de compétition, juste la joie d'apprendre ensemble.
Les 185 fiches sont organisées en 2 catégories principales, complétées par 35 situations de vie quotidienne qui forment le cœur pédagogique du jeu :
Les pratiques fondamentales de la vie juive quotidienne, organisées par thèmes :
Chaque fiche explique : la source (Torah, Talmud, Shoulhan Aroukh), le contexte, l'application pratique dans la vie quotidienne, et pourquoi cette mitzva est importante.
Les interdits fondamentaux que tout jeune juif doit connaître avant sa bar/bat mitzvah :
Chaque fiche explique : ce qui est interdit exactement, pourquoi (source et raison), les nuances selon les autorités, et comment éviter la transgression dans la pratique.
C'est ici que la magie opère ! Poztamitsvah vous apprend à reconnaître les mitzvot non pas comme des concepts abstraits dans un livre, mais comme des actes concrets liés à des moments et des lieux précis de votre vie de tous les jours.
Exemples de situations incluses dans le jeu :
... et 23 autres situations couvrant TOUS les moments de votre journée
💡 La puissance pédagogique de Poztamitsvah :
En jouant régulièrement, vous développez des réflexes spirituels.
Quand vous vous retrouvez dans la rue, votre cerveau active automatiquement :
"Tsedaka ? Lachon hara à éviter ?". À table : "Bénédiction avant de manger ?
Birkat Hamazon après ?". Au travail : "Honnêteté ? Respect du temps ?".
Les mitzvot cessent d'être des obligations théoriques pour devenir des
gestes naturels, intégrés à chaque instant de vie. C'est
ainsi qu'on devient une meilleure personne et un juif plus appliqué :
pas par contrainte, mais par conscience et réflexe.
Total : 185 cartes mitsvot/averot + 35 cartes situations = 220 cartes qui couvrent tout ce qu'un jeune doit connaître pour sa bar/bat mitzvah et au-delà. Le jeu développe des réflexes spirituels et éthiques qui transforment les mitzvot en gestes naturels intégrés à chaque instant de vie.
Les 185 fiches couvrent les mitzvot et averot les plus pertinentes pour la vie quotidienne et la préparation bar/bat mitzvah. Les 613 mitzvot de la Torah incluent beaucoup de commandements qui ne s'appliquent que dans des contextes spécifiques (Temple, terre d'Israël à l'époque biblique, etc.). Poztamitsvah se concentre sur ce que chaque jeune peut réellement pratiquer ou éviter aujourd'hui. C'est un socle solide qui permet ensuite d'approfondir selon ses intérêts et son parcours.
Parce qu'elles transforment les mitzvot d'obligations abstraites en réflexes de vie. La plupart des jeux éducatifs juifs enseignent les mitzvot comme une liste à mémoriser. Poztamitsvah fait l'inverse : il vous entraîne à les reconnaître dans votre quotidien. Quand un joueur entend "Dans la rue !", son cerveau doit activer : "Tsedaka ? Lachon hara ? Saluer les gens ?". Après plusieurs parties, ces associations deviennent automatiques. Résultat : dans la VRAIE rue, vous pensez naturellement à donner de la tsedaka en voyant quelqu'un dans le besoin, ou à éviter la médisance en parlant d'autrui. Les 35 situations couvrent tous les moments de la journée : du réveil au coucher, de la maison au travail, des relations familiales aux interactions sociales. C'est un entraînement à la conscience halakhique et éthique permanente.
Oui, absolument ! Poztamitsvah est conçu pour être progressif. Les fiches sont classées par niveau de complexité. On commence par les mitzvot les plus simples et visibles (allumer les bougies de Shabbat, dire une brakha avant de manger), puis on progresse vers des concepts plus subtils. Les situations concrètes aident ceux qui n'ont pas de bagage religieux à comprendre de quoi on parle. Plusieurs familles laïques utilisent le jeu comme première introduction au judaïsme pour leurs enfants.
Oui, c'est même l'un de ses usages principaux ! Les 185 fiches couvrent l'essentiel de ce qu'un jeune doit connaître avant sa majorité religieuse. Certains rabbins et enseignants utilisent Poztamitsvah comme base structurée : chaque semaine, l'enfant apprend 10-15 mitzvot via le jeu, puis approfondit avec son enseignant. Le format ludique facilite la mémorisation et rend l'apprentissage moins stressant. Le jeune arrive à sa bar/bat mitzvah avec une base solide et organisée.
Trois différences majeures : 1) Les situations concrètes créent des ancres mémorielles. Au lieu de mémoriser "lo tignov" (tu ne voleras pas), l'enfant associe la mitzva à "Que fais-tu si tu trouves un portefeuille par terre ?" 2) Les sources et explications permettent de comprendre le pourquoi, pas juste le quoi. 3) Le format jeu crée de la motivation et de l'engagement. Un enfant qui "joue" aux mitzvot retient mieux qu'un enfant qui les "étudie" sous forme de devoir. C'est l'apprentissage actif vs passif.
Mode compétitif (le plus courant) : Chaque joueur reçoit 7-10 cartes mitsvot. Un meneur annonce un lieu ("Table de Shabbat", "Rue", "Synagogue"...). Les joueurs ont 5 secondes pour poser les cartes qui correspondent. On compte les points, puis on change de lieu. Le premier à poser toutes ses cartes (ou celui qui a le plus de points après 10 lieux) gagne. C'est rapide, dynamique, et ça fait appel à la fois à la mémoire et à la rapidité. Mode découverte libre : On peut aussi jouer sans chrono ni compétition. On étale les 185 cartes, on choisit un lieu, et on cherche ensemble tranquillement toutes les mitzvot applicables. Idéal pour les plus jeunes ou pour des familles qui préfèrent apprendre sans pression. Comme pour Jérusalem du Ciel et Minhag ou Halakha, nos trois jeux peuvent se jouer en mode coopératif/découverte.
Oui, entièrement. Pas d'écriture, pas d'électronique, pas de muktzé. Les cartes peuvent être manipulées, les situations peuvent être discutées oralement. C'est d'ailleurs un usage fréquent : certaines familles tirent 3-5 cartes chaque Shabbat après-midi pour apprendre ensemble de nouvelles mitzvot de façon conviviale. Le Shabbat devient un moment privilégié de transmission et d'apprentissage en famille.
Myriam & Jonathan D., Paris — Préparation bat mitzvah
"Notre fille Sarah a 12 ans et sa bat mitzvah est dans 6 mois. Le problème ? Elle détestait les 'cours de religion' et rechignait à apprendre les mitzvot. Avec Poztamitsvah, tout a changé ! Elle réclame une partie tous les dimanches. En 3 mois, elle a déjà couvert 80 fiches sans s'en rendre compte. Ce qui marche ? Les situations concrètes. Quand elle tire 'Tu prépares Shabbat et tu dois allumer les bougies', elle se sent concernée. C'est SA vie, pas une liste abstraite. Son rabbin est impressionné par sa progression. On recommande à 100% !"
Profil : Famille pratiquante, préparation bat mitzvah • Fréquence : 1x/semaine depuis 3 mois • Progression : 80/185 fiches couvertes
Rav Michaël A., Marseille — Enseignant Talmud Torah
"J'enseigne à des enfants de 10-13 ans depuis 15 ans. J'ai toujours cherché un outil qui rende l'apprentissage des mitzvot vivant. Poztamitsvah est LA solution. J'utilise les fiches comme base de mes cours. Je tire 5 cartes, les enfants identifient les mitzvot, on discute des situations, puis on approfondit. Ils retiennent 5 fois mieux qu'avec des cours magistraux. Et surtout : ils posent des questions ! 'Pourquoi cette mitzva ?', 'Et si je vis cette situation ?'. Les 185 fiches me donnent assez de contenu pour 2 ans d'enseignement. Les 35 cartes situations sont géniales pour créer des jeux de rôle : on simule une situation ('vous êtes dans la rue'), les enfants doivent trouver toutes les mitzvot applicables."
Utilisé avec : 18 élèves, 10-13 ans • Établissement : Talmud Torah Marseille • Fréquence : 2x/semaine depuis 1 an
Sophie B., Lyon — Famille laïque, découverte progressive
"Nous sommes une famille juive mais très laïque. Nos enfants allaient à l'école publique et ne connaissaient presque rien au judaïsme. J'ai acheté Poztamitsvah 'au cas où'. Résultat : c'est devenu notre rituel du vendredi soir ! Les enfants (9, 12 et 14 ans) adorent. Ce qui est génial ? Les fiches expliquent tout depuis le début. Pas besoin de connaissances préalables. Chaque carte est une mini-leçon complète. En 6 mois, mes enfants connaissent maintenant les mitzvot principales, savent ce qui est interdit et pourquoi, et surtout ils ont développé des réflexes : quand on est à table, ils pensent automatiquement aux bénédictions ; dans la rue, ils pensent à la tsedaka. Les 35 situations leur ont appris à reconnaître les mitzvot dans leur vie quotidienne. C'est notre pont vers notre héritage, sans pression ni jugement."
Profil : Famille laïque, 3 enfants • Fréquence : 1x/semaine depuis 6 mois • Objectif : Découverte culturelle